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2002 [B Side] - Blood Sabbath


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Un entretien impromptu avec les Mask Makers


"Bien, bien... alors vous souhaitez en savoir plus sur nous ? Ce n'est pas comme si c'était franchement confidentiel, de toute manière.


C'est vrai que nous sommes une bande de mercenaires, mais ce type appelé Death était le seul à avoir déjà bossé comme mercenaire avant. Nous autres, on est plus comme un groupe de bandits. Aucune compétence d'organisation ; un tas de gens qui ne savent que tuer ; en d'autres termes, une petite bande d'agitateurs qui valent à peine mieux qu'un gang de rue !


Mais, vous voyez... on dirait que Death était malade. Il n'avait plus longtemps à vivre. Il balançait des phrases comme 'Je mourrai de la main de l'adversaire qui parviendra à surpasser ma force' ; plutôt poétique, venant de sa part. En tout cas, il tenait à mourir sur le champ de bataille. Il ne parlait pas comme ça, avant... Enfin, je suis contente pour lui -- on dirait que son souhait a été exaucé.


Et voilà pourquoi il n'y a plus de mercenaires dans notre équipe. Il y en avait encore plein il y a quelques années de ça, mais l'ancien chef nous a trahi et s'est tiré avec la plupart, lorsque sa femme est décédée des suites de sa maladie. Il a disparu quelque part, en laissant son fils prendre la suite ! Haha ! Tu parle d'un sacré branque !


Les seuls qui restent sont les déchets comme moi. Mais nous avons tous quelque chose en commun.


C'est notre amour partagé pour les films et pour notre patron adoré ! Gahahaha !


Allez, il est temps que je vous amène devant lui. Je ne sais pas si vous êtes vraiment un reporter comme vous le prétendez, mais c'était une erreur de tuer un de nos camarades pour s'infiltrer ici.


Le patron n'aime guère ce genre de boulot--


Mais, vous savez, je pense que les employés y trouvent un certain plaisir. Gahahaha ! Sacrée prise !"




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Rapport d'une journaliste du Daily Days sur le Culte en Rouge et Noir


Incompréhensible. En toute franchise, voilà mon opinion personnelle quand à eux - [SAMPLE].


Ils vénèrent la 'souffrance' comme leur dieu.


Mais en même temps, ils essaient de l'extraire de leur propre corps.


Pour les citer, "Dieu ne doit pas exister en moi-même."


Étrangement, on dirait qu'ils réussissent effectivement à ignorer la douleur.


Je ne sais pas depuis combien de temps ils sont là, mais je suis certaine que quelqu'un est à la tête de leurs activités.


Du point de vue de la plupart des religions mondiales, ils forment une espèce de secte.


Mais ces gens ne rejettent pas les autres croyances. Si le fidèle le désire, il peut avoir foi en de multiples croyances.


Le 42e dirigeant de SAMPLE adhérait en fait aux trois religions mondiales majeures, et à d'autres--y compris les sectes et les croyances populaires...


Et au total, il se considérait comme croyant simultanément en 73 religions.


Il se contentait d'ignorer les idéaux contradictoires, et de maintenir l'identité du groupe : "Suivre ses désirs."


Et alors--


Peut-être que pour eux, Dieu n'est pas représenté par la souffrance...


Mais plutôt, par l'humanité elle-même.




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L'Imitateur reçoit un conseil par téléphone


"Peut-être pourrait-on appeler ce plan de votre confection un demi-succès.


Vous avez investi beaucoup de temps et d'efforts dans l'élaboration de cet incident. Vous souhaitiez reproduire les événements ayant eu lieu à bord du Flying Pussyfoot, n'est-ce pas ? Sylvie était dans le rôle de Natalie Beriam... Et vous comptiez que Nile ou Denkuro prenne la place du Rail Tracer ? Qu'en est-il d'Elmer ? Quel était son rôle ?


...Je vois, Elmer était Elmer. Mes excuses, ça m'était sorti de la tête. Et vous incarniez votre propre rôle.


Alors qu'en est-il d'Isaac Dian et de Miria Harvent ?


Si vous avez délibérément choisi de les exclure, eux ou les personnages devant jouer leur rôle, voilà l'erreur qui a mené à l'échec partiel de votre plan.


Ils sont les jokers de cette partie--les hasards de la destinée. Ils incarnent une lueur d'espoir pour le Bien, et pourtant ils représentent une lumière similaire pour le Mal.


Si vous teniez à ce que votre plan réussisse, vous n'auriez pas dû les ôter de la scène. Vous auriez été mieux avisé d'en faire vos alliés.


Après tout... J'ai fini par le réaliser, à mon grand déplaisir, durant l'incident de 1935."




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